Coronavirus et immobilier : quel impact sur les loyers ?
Le ralentissement de l’activité économique peut mettre les locataires et leurs propriétaires dans une situation difficile. Le gouvernement a pris des mesures pour suspendre les loyers (loi immédiate du 24 mars), mais « ils ne s’appliquent pas aux loyers du logement », a rappelé le ministre du Logement, Julien Denormandie. La loi concerne les micro-entreprises qui luttent pour faire face à la crise sanitaire, déclare Les Echos. Le loyer des logements privés n’est donc ni réduit ni suspendu pendant la période couverte par la mesure d’État.
Le locataire d’un appartement est toujours obligé de payer le loyer à son propriétaire, y compris les frais, et au moment spécifié dans le bail. D’autre part, il existe plusieurs façons de faire face aux difficultés économiques du locataire, lorsque le locataire ne peut plus payer le loyer en totalité ou en partie.
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Trouver un terrain commun à partir de mois le plus désemé de non-paiement
Il est recommandé, explique l’économie quotidienne pour trouver des similitudes dès que possible, à partir du premier mois de non-paiement : report du paiement de conditions de location ou des versements de remboursements sur quelques mois, si vos finances personnelles le permettent. Dans ce cas, il est nécessaire de passer par écrit un accord signé par les deux parties. Un échange de courriels peut suffire.
Si le locataire a fait face à de réelles difficultés financières en raison de d’une perte d’activité, par exemple, il peut contacter l’agence du ministère pour les informations sur le logement (Adil) pour vérifier s’ils ne sont pas éligibles à une aide d’urgence. Pour le propriétaire, il est nécessaire de demander son banque en cas d’une situation financière compliquée, par exemple, en raison du report de Durée du prêt au logement. Il est également nécessaire de connaître le fonctionnement de la Garantie de les loyers impayés (GLI), en cas de signature d’un contrat contre ce risque. Il prend souvent plusieurs mois pour déclencher des remboursements de ce type Assurance.
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Prioriser un règlement gracieux
Dans tous les cas, un règlement amiable est préférable, puisque la procédure judiciaire la location est longue et coûteuse. En outre, le système judiciaire est ralentit actuellement et la pause hivernale a été prolongée jusqu’à ce que le31 mai, ce qui exclut toute expulsion. Le locataire peut utiliser le terme de « force majeure », en vertu de l’article 1218 du Code civil : l’argument est « difficile à appliquer à une obligation de paiement »explique les échos Catherine Saint geniste de la compagnie Jeantet.
Si le locataire a donné ses vacances avant la livraison, mais n’a pas pu partir, il doit continuer à payer son loyer. Le locataire et le propriétaire doivent signer, dans ce cas, une « Accord d’occupation « , qui peut être téléchargé à partir du site Web de l’Agence nationale pour l’information sur le logement (Anil), mais un échange d’e-mails peut être suffisant. Si le locataire vient de signer le bail, mais que le locataire n’a pas été en mesure d’entrer dans l’appartement en raison de la restriction, il est tenu de respecter le bail et de payer le loyer. Encore une fois, il est conseillé d’accepter de reporter la date de début du loyer.
Les propriétaires de crédit-bail commercial doivent payer les paiements de Locations
Enfin, le propriétaire d’un bail commercial est affecté par les décisions du 25 mars et peut être tenu de reporter ou de distribuer intégralement le paiement du loyer du 12 mars à deux mois après la fin de l’état d’urgence. En ce qui concerne les « petits » donateurs, sapé par la cessation soudaine de Collecte de loyer, Bercy a souligné qu’il travaille sur ce sujet.